Dernier jour en Mongolie

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Le 3 Aout 2012

Voilà, aujourd’hui, nous partons pour la Russie.

Parcourir la Mongolie a été pour nous, une vraie aventure. Ce fut une expérience enrichissante de vivre au milieu de ces gens modestes toujours attachés à leurs traditions séculaires tels que leurs vêtements, habitation, passion des chevaux et convictions religieuses. Nous mettrons juste un bémol pour la « gastronomie » qui aurait bien gagné à évoluer un peu…

L’aventure était également sur les pistes avec, pendant plus de 2000 km, la question qui revenait à chaque difficulté :

– Et qu’est ce qu’on fait si Pépère casse ici?

En effet, nous nous sommes souvent sentis seuls et sans assistance possible, cette expérience aura été une bonne préparation pour le reste de notre tour du monde.

A l’Oasis, de nouveaux sont arrivés hier et d’autres repartent aujourd’hui.

C’est le lot quotidien de la secrétaire qui doit faire les factures.

A Oulan-Bator, cette vielle dame maintiendra jusqu’à son dernier souffle sa tenue traditionnelle même si elle s’aventure avec courage dans le monde moderne.

Nous faisons quelques courses pour nos provisions et profitons une dernière fois du filet de bœuf du « Bistrot Français ».

A la sortie d’Oulan-Bator, nous avons le sentiment que la Mongolie ne fait pas d’effort pour nous retenir.

En montant sur la Russie nous croisons une grande quantité d’Ovoos.

Et cette vache, que fait-elle ? Elle lit une affiche ? Elle tient elle-même ce petit stand au milieu de la steppe ou est-elle là par hasard ?

A notre question : Les Mongols n’ont pas d’agriculture ? On nous avait répondu si, dans le Nord. Et bien en voilà la preuve…

Profitons encore un peu de ces yourtes !

Le décor change petit à petit, il y a maintenant quelques arbres.

Notre dernière nuit Mongole se passera au bout d’un chemin de terre sur une colline avec vue sur des kilomètres de steppe d’un coté comme de l’autre.

Finalement, nous ne coucherons pas en Russie ce soir, c’est bien trop loin et de toute façon, notre visa ne commence que demain.

 

Repos avant de quitter la mongolie

 

Les 30 et 31 juillet et les 1 et 2 août

Et oui, comme tout le monde, nous avons droit aux congés d’été…

Nous décidons de passer 4 jours à l’Oasis, le temps de récupérer notre visa Russe. L’Oasis est une guest house très connue des baroudeurs.

Elle est tenue par un couple allemand resté à Oulan Bator après avoir voyagé.

Sibylle, l’épouse est très disponible et sait nous mettre à l’aise.

Le lieu est convivial, chaque jour, nous faisons la connaissance de nouveaux voyageurs de passage. Ils arrivent en 4X4, en camion ou en moto. Tous partagent la même passion de l’aventure. Ils arrivent de tous les pays et repartent dans toutes les directions.

Thierry (à droite) est venu en moto se défoncer avec deux copains sur les pistes Mongoles. Le reste du temps, ils se partagent avec sa femme et leur fille entre la France, l’Espagne et l’Afrique du Sud… Ils ont également un camion 4X4 Unimog habitable pour parcourir le monde.

Alex, il est seul avec sa moto et ne sait pas encore où continuer, il prend la route, certainement qu’il passera par le Japon.

Pour nous, le 31 est réservé à la lessive et la mécanique : resserrage des lames de suspensions (encore…) et réparation d’une fuite de gasoil au réservoir de secours. Le reste de la journée est consacré à écouter les récits de chacun et aux échanges de tuyaux.

Le premier août, nous laissons Pépère et partons en bus,  visiter le musée d’histoire et faire quelques achats mongols.

Le musée est bien,

mais il faut passer beaucoup de temps à lire les explications en anglais. Nous pensions voir la maquette de l’ancienne capitale de Gengis kan : Kharkorin, mais elle n’y est plus, dommage ! Nous aurions ainsi pu comparer avec le grand village que nous avons vu.

Nous rentrons tard avec un taxi amateur qui se trompe de route en essayant d’éviter les embouteillages. Avant de se coucher, Michel passe encore 2 heures à préparer notre parcours russe avec Giampiero, un Italien. Il a déjà fait 5 fois, la Russie et la Mongolie avec Barbara sa femme. Ils sont très agréables, certainement que nous nous reverrons.

Le 2 août, comme convenu, nous allons à l’agence chercher notre visa russe, récupérer le chapeau que Michel a laissé dans un café (heureusement, le personnel l’avait mis de coté) et terminer nos achats.

Demain, nous partons pour la Russie. Nous quitterons donc cette Mongolie totalement inattendue. Elle nous a régalé les yeux et le cœur avec sa population simple et accueillante, mais elle a su aussi nous mettre en difficultés par sa topographie et sa météo exceptionnellement pluvieuse cette année.

 

 

 

 

Tour en chameaux

Le 29 Juillet 2012

Nous sommes à coté de nos dernières dunes Mongoles et il y a des chameaux à disposition alors une balade s’impose.

Nos deux petits guides font la causette entre eux pendant toute la durée de la promenade.

Les chameaux ne manquent pas une occasion de goûter à leur arbuste préféré.

Et nous, nous profitons.

Ensuite nous prenons la direction d’Oulan-Bator, au passage, nous lavons Pépère dans une rivière aussi sale que lui.

Et nous faisons le plein à la cabane à eau. La femme de service veut nous prouver que l’eau est buvable, alors elle vient dans Pépère avec un petit pot de bébé rempli de cette eau, à la main.

Dehors, les cochons et une vache se partagent une flaque pas très appétissante.

 

 

Plus que 60 km de piste.

Le 28 juillet 2012

Aucun nouveau déluge ne s’est abattu cette nuit et le soleil est là ce matin.

Nous commençons à dégager les 9 Mongols de la boue, hier, Pépère ne pouvait pas s’approcher assez d’eux pour les treuiller. Maintenant, c’est chose faite.En remerciement, ils nous donnent du fromage et continuent leur chemin.

Pour passer ce marais, il faut le contourner par une autre piste. Le propriétaire d’une yourte vient et nous montre le chemin avec sa moto et ses gosses.

A cet instant, il ne nous reste que 60 kilomètres de pistes avant le goudron que nous ne quitterons pas avant la maison…

Nous trouvons de-ci de-là, des véhicules abandonnées, voitures ou camions. Nous dépassons même un 4X4 qui transporte des touristes allemands. Ils ont également passé la nuit dans leur véhicule et dans l’eau… Comme nous, ils sont venus chercher l’aventure eh bien, comme nous, ils l’ont trouvée…

La piste reste encore difficile par endroits mais rien de comparable avec hier.

Ces camions savent-ils vraiment ce qui les attend ?

Le goudron tant attendu arrive comme par miracle et le spectacle redevient joli.

Nous en profitons plus de 150 km jusqu’à ce qu’un policier nous oblige à nous garer sur le bas coté. Une voiture d’officiels doit passer dans un moment … alors place aux officiels. Peut être vont ils dans le Sud, vérifier s’il est vraiment nécessaire d’affecter un budget pour les routes…

Nous prenons le chemin de sable à cet endroit et nous nous posons pour la nuit. Il y a des chameaux pas loin, peut être que demain, nous irons sur la dune avec eux.

 

 

 

 

 

Boue et solidarité

Le 27 juillet 2012

Hier nos visiteurs du soir avaient bien raison. A peine avait on changer de lieu pour la nuit qu’un vent très violent a commencé, il annonçait la suite des événements. Pluie toute la nuit….

Le matin, se pose la question : que fait-on ? On part ou pas ?

Lecture et écriture du site nous tiendront jusqu’à midi. Une fois le repas pris, Marilou souhaite partir avant de nouvelles pluies. Michel n’a pas trop envie mais à 14h, nous levons le camp.

Ce n’est pas terrible !

L’eau n’est pas loin et la boue nous inquiète.

Tiens, en voilà qui ont certainement des problèmes…

Il faut bien reconnaitre qu’avec le nombre, ils font des miracles. Ils sortent certains véhicules bloqués à la force des bras.

Même les femmes s’y mettent…

Nous en sortons deux avec le treuil.

Michel resterait bien là pour une nuit de plus en attendant des jours meilleurs, mais les encouragements des Mongols et le risque de voir le temps se maintenir, nous poussent à tenter le coup alors que même un 4X4 Toyota très léger a besoin d’aide.

Raté !… On fait quoi maintenant ?

Allez …on pousse ! bien sûr sans résultats.

Le Toyota qui avait du mal à passer retraverse et avec toute la longueur du câble et de nos cordes disponibles, nous treuillons Pépère.

L’autre Toyota retraverse avec les mêmes moyens…

Quelle histoire ! Mais maintenant, il faut continuer et les conditions ne sont pas meilleures, elles s’annoncent même pires.

Chaque point d’eau doit être testé.

Ce camion restera ici jusqu’à ce que le beau temps sèche tout ça.

Nous sommes à nouveau tirés d’une situation difficile par un 4X4 Mongol qui transporte deux touristes suisses.

Notre corde sert également à sortir leur camion « cuisine ».

Nous n’arrivons plus à les suivre alors, ils continuent sans nous, mais avec nos cordes!

Nous passerons la nuit entre deux bourbiers en espérant que demain il fera meilleur.

Pas loin de nous, toute une famille passera la nuit dans l’eau. Ils sont neuf dont des petits enfants et les deux grands parents, nous leur portons des gâteaux et de l’eau.

Quelle galère!!!.

Pour nous, une fois la porte de Pépère refermée, rien n’est changé par rapport aux autres soirées, c’est quand même bien d’emmener sa maison ! Mais décidément, la Mongolie ne nous épargne rien.

 

 

 

 

 

 

 

 

Gengis khan

Le 26 juillet 2012

Ah cette Mongolie destructrice ou  apaisante…

Aujourd’hui, elle choisit de nous apaiser. Peut être trouve-elle aussi qu’elle nous a assez malmenés….

Avant de partir, Michel monte Pépère pour délester les lames et ainsi les remettre les unes en face des autres. Sans les sphères, elles se sont bien décalées.

Nous faisons une petite balade sur les dunes, histoire de récupérer un peu (beaucoup) de sable dans nos chaussures.

Tiens, voilà des chameaux qui arrivent, ils viennent dans notre direction.

Vite, allons à leur rencontre !

Ils ont sûrement un guide et Michel qui, comme Marilou n’a vraiment pas envie de refaire les mêmes 600 km de pistes pour rentrer, veut vérifier s’il n’y a pas une piste pour rejoindre Arvaihheer. Nous aurions beaucoup plus de kilomètres mais, deux tiers de goudron.

-Oui, c’est là bas, direction plein Nord !

Nos cartes et GPS  n’indiquent pas cette piste, mais nous prenons celle qui fait cap au Nord.

Toute la journée est un régal pour les yeux, ce Gobi que nous n’arrivions pas apprécier vraiment se découvre devant nous.

Cette yourte n’est pas sur de l’herbe rase, c’est la couleur de la roche qui fait ce parterre vert.

Avec ces volcans, on a l’impression d’évoluer dans le film « Jurassic Park »

C’est aride, mais, c’est beau !

Quel plaisir d’évoluer sur ces crêtes !

Entre les montagnes, quelques fois la rivière a façonné la route.

Parfois elle n’a semble-il pas terminé son travail.

Ce sont plutôt les orages qui ont un peu trop déversé d’eau à la fois. En parlant d’orage, le ciel se couvre, espérons que nous pourrons quitter la rivière à temps…

-Regarde comme c’est beau !

-Oui, on se pose là pour la nuit ?

-OK

Une moto arrive,

Ils sont sympa ces Mongols, ils sont venus nous ne savons d’où, nous avertir de ne pas rester ici. Ils nous montrent le ciel et font des signes inquiétants.

Il est toujours prudent d’écouter les habitants, alors nous leur disons qu’après manger, nous irons dormir sur une hauteur. Ils sont rassurés et repartent.

-C’est quoi ce sifflet ?

-Regarde ce cavalier, il vient nous dire bonjour.

Nous l’invitons et en une minute, il descend de son cheval, monte dans Pépère et dévore goulument une assiette de pâtes  que Marilou lui sert. Un verre de Bordeaux accompagne ce modeste repas.

Bizarrement, Il ne finit pas son assiette et commence à bourrer sa pipe.

Bien qu’il reste un moment en notre compagnie, nous sommes frustrés de ne pouvoir vraiment communiquer avec lui. Est-il trop limité ou a-t-il un problème? Mais il ne prononce aucun mot, nous ne saurons même pas son nom.  Pas plus en disant Marilou et Michel en nous montrant du doigt,  rien n’y fait. Nous l’appelons Gengis khan pour le faire réagir, aucune réponse non plus. Pour nous ce sera donc Gengis khan.

Comme il faut bien se quitter un jour, il nous fait comprendre qu’il va rentrer à sa yourte, il enfourche son cheval.

Et disparait sans même se retourner…

Nous reprenons la piste sur deux ou trois kilomètres pour ne pas nous trouver dans l’eau et la boue au cas où l’orage annoncé arriverait.

Bien nous en a pris…

Enfin des dunes

Le 25 juillet 2012

La nuit à 2300 mètres a été bonne et notre solitude n’a été troublée par aucun animal sauvage.

Avant de partir, nous allons à leur rencontre à pied dans la montagne mais la montée est rude, nous prenons une photo de Pépère seul dans la petite vallée.

Faire autant de kilomètres pour voir cette gorge est franchement démesuré. Peut être que les dunes à 100 km au Sud Ouest justifieront nos galères subies les jours derniers ?

En route, il y a toujours ces oiseaux de mauvais augures. Malgré les efforts de certains pour le cacher, nous voyons bien qu’ils profitent des malheurs survenus à un autre animal.

Pour le reste, la journée ne mérite pas d’être racontée. C’est une suite de très très mauvaises pistes avec de gros trous, de la boue et des cailloux dangereux.

La sphère réparée ce matin n’a pas résisté à ce traitement. Nous l’avons entendue rendre l’âme dans un souffle pathétique.

Sans l’aide des sphères, nous ne savons pas comment  les suspensions vont se comporter sur ces « routes ». Nous sommes à 600 km de pistes d’Oulan-Bator… Après nous aurons du goudron jusqu’à la maison. Croisons les doigts…

Mais qu’est ce qu’on fait là ?

-Regarde ce qu’on fait là!

-Ah oui, c’est beau!

Assez de galères pour aujourd’hui, nous ne prenons pas cette piste douteuse où il serait facile de planter Pépère dans le sable.

Nous dormirons ici avec vue sur les dunes.

 

 

 

 

 

 

 

La vallée de Yol

Le 24 juillet 2012

Avant de partir, Michel vérifie la fixation des lames posées par Toyota.

Horreur !!! Bien sûr il va falloir les resserrer un peu, mais le vrai problème, c’est que la sphère gonflable gauche a tourné sur son axe…

Comment n’a-telle pas explosé ? Mystère…  En tout cas, il faut se mettre au travail pour réparer.

L’opération ne dure pas plus d’une heure et demie et le tour est joué, une fois gonflée, elle a bien une drôle de forme, mais elle tient, c’est bien l’essentiel.

Marilou met à profit ce temps pour nettoyer Pépère de font en comble.

Un peu avant midi, nous partons pour les fameuses gorges que nous n’avons pas trouvées hier. Nous demandons la route dans un petit village ? Un homme nous emmène sur la bonne piste  après avoir déposé un passager à sa yourte.

Le temps de surprendre cette chèvre sauvage.

Et nous arrivons à un parking où 5 ou 6 petits véhicules ont déposé leurs touristes. Nous devons stopper ici, le dernier kilomètre avant la gorge, devra être fait à pied ou à cheval.

Un homme vient nous voir, Sébastien est français, il est en vacances en Mongolie pour trois semaines avec  sa femme Stéphanie et leurs enfants Emma et Matéo. Ils ont loué depuis la France, un petit van russe avec chauffeur et une guide.

Nous avons immédiatement beaucoup de choses à nous dire car ce sont également des tourdumondistes.  Ils ont fait le tour du monde pendant une année en transports en commun, avions, trains et bus.

Pour les gorges, Michel préfère le cheval, Marilou à pied pourra discuter avec Stéphanie.

Heureusement, qu’ils n’ont pas tous ce caractère.

Une curiosité du site, c’est la présence d’un résidu de glacier en juillet et août, alors allons vérifier…

Oui, cette année, il est bien là. Il faut dire que, nous n’avons pas encore eu l’occasion de souffrir de la chaleur du Gobi bien vert pour un désert.

Marilou essaie de nous faire croire qu’il est aussi beau que ceux de Norvège, mais  il n’en est rien, c’est juste un petit bout de glace (Il est vrai dans un désert…).

La soirée se termine par une nouvelle séance photos de nos petits rongeurs mongols.

C’est décidé, nous dormirons entre les montagnes de la réserve pour « peut être » voir les animaux féroces annoncés dans notre guide. loups, léopard des neiges, lynx etc. etc…

La météo est très capricieuse en ce moment alors, nous faisons attention à ne pas nous trouver dans le lit d’une rivière éphémère.

Erreur de direction.

Le 23 juillet 2012

Il faut bien reconnaitre que depuis notre départ d’Oulan-Bator, le Gobi ne nous a offert sur 500 km, que des galères. Après coup, nous avons le plaisir de repenser à ces aventures dans la boue mais nous aimerions aussi profiter du désert.

Pour le voir, nous partons dans le parc naturel de Gur-Van Saykhan et décidons de commencer par les gorges de Yolyn, Michel choisit notre route après avoir consulté Le petit Futé et son GPS. Il aurait mieux fait de consulter les Bouddhas…

Nous passons toute l’après midi à faire des allers et retours sur des petits chemins, c’est bien agréable, mais,  le soir nous n’avons toujours pas trouvé l’entrée des gorges.

Un cheval bien coiffé, nous regarde passer.

Pendant que ce groupe de chameaux nous ignore.

Qu’à cela ne tienne, nous décidons d’en rester là et de faire une petite balade à pied dans la  montage.

Nous sommes accompagnés  par d’innombrables petits rongeurs bien amusants, toute la montagne est percée de leurs galeries, c’est un vrai gruyère!

Les rapaces veillent sur eux !!!

Nous dormirons là, l’endroit est tranquille, c’est le moins que l’on puisse dire…

 

 

Repos à Dalanzadgad

Le 22 juillet 2012

C’est la première fois depuis notre départ que nous ne bougeons pas de la journée….

Levés tard, nous sommes vraiment bien installés à l’hôtel « Kan Uul ». Il est Incroyablement moderne par rapport à l’environnement.

La journée est consacrée au repos pour Michel, à internet, aux nombreux contacts avec la France et à l’observation du dehors.

Le soir, passe devant nous une jolie tempête de sable.

Seul bémol pour cet hôtel, au restaurant, la carte est assez alléchante, mais tout ce qui nous semble bon, n’est pas disponible ce weekend.

-Tant pis, faites nous une omelette dit Marilou !

Au bout de 10 mn, la serveuse revient et nous informe qu’il n’y a pas d’omelettes… Certainement qu’ils sont incapables de nous vendre une omelette qui n’est pas au tarif. Combien nous la vendre ?…

Bon, allez rien de grave, nous laissons une bonne note à cet hôtel.