Le 29 mars 2012
Deuxième nuit sur notre parking, pas de problème, nous avons bien dormi, Ouf !
Au programme de la journée, Saint Sophie, la citerne et la tour de Galata. Des vrais touristes…
En montant sur le sultanahmet, nous voyons un 4X4 garé, il a une inscription « Oulan Bator ». Il semble qu’il revienne de Mongolie. Marilou met un mot sur son pare brise. Peut être nous contacteront ils un jour !
Plus matinal que la veille, nous n’avons pas trop d’attente pour entrer dans Saint Sophie. C’est G R A N D I O S E ! Nous employons souvent ce mot , mais vraiment, Istanbul est une très belle ville. Au niveau sécurité, on beigne dans une ambiance sereine autour de gens souriants.
La grandeur du bâtiment,
Ses marbres et ses fresques d’or,
Cette gigantesque basilique fut un jour transformée en mosquée puis en musée début 1900 par Atatürk, l’homme de la modernisation du pays.
Pour accéder à l’étage, nous avons pris une rampe pavée. Juste pour cet étage, il y a déjà une belle montée.
En sortant, Michel demande à un gardien où est la citerne. « Elle est à 50 mètres à droite Monsieur », super, on y va tout de suite.
Nous ne pouvons pas employer le même qualificatif une nouvelle fois, mais que dire de ce que l’on appelle ici la citerne Cathédrale. Elle porte bien son nom. Même si elle a été construite à l’origine pour constituer une réserve d’eau, aujourd’hui, elle nous rassasie les yeux.
Après tout çà, il faut recharger les batteries, alors une petite pause d’une heure au restaurant pas cher et l’on repart, pour la tour de Galata.
Cette fois-ci, nous emploierons les transports en commun, une fois dans le mauvais sens (alors Michel !) et une fois dans le bon.
Pour gagner cette tour, aussi ancienne que Sainte Sophie, il faut monter à pied, n’est ce pas Marilou ! Va-t-elle-y arriver seule ? En tout cas il semble qu’un sympathique turc se tienne prêt à la pousser si besoin.
C’est du haut de cette tour que nous avons pris les photos panoramiques d’Istanbul.
En bas, comme au moyen âge chez nous, vous avez la rue des marchands d’outils, celle des quincaillers,celle des articles pour les bateaux puis celle des peintures etc… C’est en fait un bon moyen de ne pas perdre son temps lorsque l’on sait ce que l’on cherche. Michel en profite pour acheter une canne à pêche en carbone pour 20 euros. Nous n’en avions plus depuis la veille du départ. Michel était passé dessus avec Pépère lors d’une marche arrière malheureuse…