Le 18 juillet 2012
Réveil à 5h30 pour être les premiers devant la grille. Le temps de prendre le petit déjeuner et à 6h, il y a déjà deux voitures devant nous.
A huit heure, c’est l’ouverture et tout semble bien organisé, le gardien nous donne une affiche à mettre sur le pare brise avec notre numéro d’ordre d’arrivée.
Oui, mais voilà, avant de rentrer dans l’atelier, celui qui fait la circulation fait passer un gros 4X4 devant nous. Nous sentons l’embrouille, et quand un deuxième va pour se présenter devant nous guidé par le même homme, Michel avance et bloque la voiture, on nous fait signe de reculer.
Il n’en n’est pas question… et finalement, nous sommes autorisés à entrer dans l’atelier. Certainement que les deux voitures avaient donné un billet pour passer devant.
Voilà le moment de monter Pépère sur le pont.
Impossible !!! C’est vrai qu’il est lourd, mais quand même…
Il leur faudra presque une heure et un changement de pont pour enfin pouvoir commencer à travailler.
Nous sommes alors inviter à monter dans un grand salon où nous passerons notre temps sur internet
avec la vue sur Pépère à la télé.
Le résultat est impressionnant, ils ont trouvé 4 lames cassées et nous en avons profité pour changer les deux mises par Toyota Tachkent (occasion d’un camion russe).
Tiens, voilà une tête connue !
Jean Pierre que nous pensions ne pas revoir est ici pour faire graisser son Toyota. Danielle en profite pour monter discuter avec Marilou dans le salon, elles se racontent leur traversée de la Mongolie.
La note est salée, mais il faut bien passer par là. A cette occasion, nous avons eu droit à une grande séance de prise de tête au moment de payer avec notre MasterCard. Il a bien fallu vingt minutes et quatre personnes différentes pour trouver comment marche leur machine.
Nous n’avons pas mangés de la journée alors, nous allons au café français. C’est seulement la deuxième fois que nous venons et nous sommes déjà reçus comme des habitués. Guy est vraiment sympa et nous invite à boire l’apéro avec un des ses amis avant de passer à table.
A 8h, nous n’avons pas envie de dormir dans la rue alors, nous téléphonons à Danielle pour savoir s’il y a encore une place à l’Oasis.
Oui il en reste une, nous passerons la nuit dans un petit espace entre camions aménagés et 4X4 de baroudeurs.